LES JOYEUSES COMMÈRES DE WINDSOR
d'après W. Shakespeare

L'auteur

Shakespeare
William Shakespeare
(1564-1616)

Doit-on encore présenter Shakespeare ?
Qui n'a entendu parler de ses oeuvres majeures comme Roméo et Juliette, Macbeth, Othello, Hamlet, le songe d'une nuit d'été ou le roi Lear ?

On lui attribue 39 pièces essentiellement écrites entre 1589 et 1613, qu'on pourrait répartir en comédies, pièces historiques et tragédies.
Il est le représentant le plus célèbre de ce qu'on appelle le théâtre élisabethain (du règne de la reine Elisabeth 1ère, 1558-1603), comptant des auteurs comme Ben Johnson ou John Ford, âge d'or d'une production théâtrale qui s'adresse autant à l'élite qu'au peuple et favorisée par le régime politique en place.

L'influence de Shakespeare sur le théâtre moderne est considérable et ne se limite pas au monde anglophone, ni seulement à l'art dramatique : on compte ainsi plus de 400 adaptations cinématographiques de son oeuvre.

Vendredi 19 janvier 2024 à 20h30
samedi 20 janvier à 20h30
Dimanche 21 janvier à 17h
Mardi 23 janvier à 20h30
Mercredi 24 janvier à 20h30

Salle Jacques Tati

Allée de la Bouvêche 91400, Orsay
RER B – Orsay Ville

Pour nous contacter :
contact@duntheatrelautre.org

Participation aux frais : 10 et 5 €
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Mise en scène : Philippe VALLEPIN
Assisté de : Françoise DUBOR

Distributon :
Adeline Grave, Philippe Jaubert, Enzo Jonvel, Leslie Lebeurrier-Josse, Stéphane Le Derout, Véronique Meder, Ghislaine Palmier, Sandrine Pannetier, Clotilde Perrier, Stéphane Renault, Claire Roussy, Pascal Tilche.

Graphisme : Thiébaud Chotin - FLOZ studio

tract

Sir John Falstaff décide de courtiser Madame Lepage et Madame Duflot, deux bourgeoises de Windsor. Les deux amies tiennent chez elles les cordons de la bourse et Falstaff est justement en manque d'argent. Il envoie la même lettre d'amour aux deux femmes, en ne changeant que leurs noms. Quand les deux amies et confidentes découvrent la manœuvre, elles décident de s'amuser aux dépens de l'énorme séducteur indélicat.

Une farce anglaise de bout en bout, qui tient par la virtuosité de jeu des acteurs.

Une «machine à jouer » jubilatoire !

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